layac4Famille Layac de Boussac :

Famille originaire de Champeix et dont une branche habitait le           Limousin.     Les recherches de 1666, situent la famille de Baron, seigneur de La Martre, de Bonnencontre, de  Layait  et  de   Boussac a fait preuve depuis Jean de Baron, fils de Guillaume, marié par contrat du 9 janvier 1455 avec                 Antoinette de Sauterolles. Ils descendent par divers degrés de Josserand de Baron, écuyer mentionné dans les actes de 1374 et 1378.

Armoiries : de gueules à deux pals d’argent à la bande de sable, chargée de trois rois d’échiquier d’argent brochant sur le tout.

-          Le  28 août 1689, a été enterrée dans l’église de St-Bonnet avec les solennités requises  dame Jeanne de, Baron âgée de 24 ans, inhumation en présence de Jean Gindre ( ?) et de Jean Courboullès.

-          Le 8 mars 1694, noble Jean de Baron de Layac, âgé de 40 ans, inhumation en présence de Jean Lavergne  et de Jean Courboullès qui n’ont pas signé.

-          Le 25 janvier 1694, a été enterrée damoiselle Anne de Chazettes, femme de noble Jean de Baron de Layac, âgée de 40 ans, en présence de Jean Lavergne et de Jean Courboullès qui n’ont pas signé.

-          Le 8 mars 1695, a été enterré dans notre église, noble Jean de Baron de Layac, âgé 40 ans, en présence de Jean Lavergne et de Jean Courboullès.

-          Le 22 juillet 1702, a été enterré dans l’église de St-Bonnet, noble Jean de Baron de Layac du village de Boussac, âgé de 77 ans et en présence de Pierre Layac, Antoine Courboulès qui n’ont pas signé

-          Le 7 novembre 1760, est décédé, Jean de Baron de Layac, le jour d’hier au village de Boussac puis inhumé dans notre église. Ont assisté à la sépulture Antoine Guillaume du village de Boussac Gérôme ( ?) Douhet du bourg de St-Bonnet qui n’ont pas signé.

-          Le 8 juin 1763, a été inhumé dans notre église devant l’autel de St-Blaise de dame Marie de Mathieu, veuve de messire Jean de Baron de Layac, écuyer, morte le jour précédent au village de Boussac, âgée d’environ 75 ans. Ont été témoins, messire Antoine du Baron de Layac son fils, et de messire Jean de Layac, écuyer, son petit fils.

Le  14 septembre 1764, mademoiselle Jeanne de Layac, fille de messire      Jean  de Baron de Layac et de dame Gabrielle Duplantadis, décédée le jour précédent au village de Boussac, âgée d’environ 4 mois, a été inhumée dans notre église en présence de Jean de Baron de Layac et messire Antoine de Baron de Layac. Diverses alliances seront réalisées avec les familles de Douhet, de Fayet, de Faure, du Vernet, etc.

-          Le  27 novembre 1766, a été inhumé dans l’église demoiselle Toinette de Layac, fille à messire Jean de baron de Layac, écuyer, décédée au village de Boussac le jour d’hier, âgée d’environ 15 mois ; ont été témoins, Pierre Tiple et Antoine Albessard de ce bourg qui n’ont pas signé.

-          Le  17 novembre 1766, a été inhumée dans notre église, demoiselle Gabrielle de Layac, fille à messire Jean de Baron de Layac, écuyer et à dame Gabrielle Duplantadis, décédée au village de Boussac7, âgée d’environ 4 ans ; ont été présents Antoine Albessard et Pierre Tiple.

Petite info historique :

vitraux-clermont 2Après la conversion de l’Empereur Constantin au christianisme, l’Eglise se pose en héritière du monde romain. La première véritable cathédrale est de Saint-Jean de Latran, s’inspirant directement des basiliques du Bas-Empire. L’espace de la cathédrale devient rapidement le centre névralgique de la ville. L’absence de chaises facilite le déplacement et la rencontre des fidèles. On se parle, on commerce, on festoie, le cœur étant réservé à la prière. Elle devint par instant lieu de sacre, ainsi 35 rois de France seront sacrés dans la seule cathédrale de Reims. La cathédrale devient la garante de la stabilité du royaume.

Les vitraux dans l’église de Clermont-Ferrand :

Les trois fenêtres racontent la vie de Saint-Bonnet qui fut évêque de Clermont à la fin du VIIe siècle. Après une éducation soignée, il fut nommé référendaire (premier ministre) à la cour de Sigisbert II, roi d’Austrasie, à Metz. Puis il alla comme gouverneur à Marseille dans les années 670. A ce moment-là, son frère Avit, alors évêque de Clermont mourut et désigna Bonnet pour successeur, ce qui fut accepté par l’Eglise. Saint-Bonnet resta 10 ans à la tête du diocèse puis se démit de ses fonctions et prit l’habit de bénédictin au monastère de Manglieu. Il mourut à Lyon lors de son retour d’un pèlerinage à Rome. La cathédrale a conservé jusqu’à la Révolution, une très antique chasuble que l’on disait avoir été donnée par la Vierge Marie à Saint-Bonnet ; cette relique était vénérée lors des fêtes de la sainte Vierge.

1)     Madeleine = Marie-Madeleine = Marie de Magdala, disciple de Jésus.

2)     Jehan Dufayet décèdera six semaines plus tard.

3)     Fialex : nom d’une montagne dans la paroisse de Saint-Bonnet et qui fut donnée en dot à Marie de Douhet, épouse Baldus.

4)     Tribunal chargé des affaires civiles et criminelles d’importance secondaire de 1552 à 1791.

5)     Pendant la révolution, Louise Hélène de Ferrières de Sauveboeuf, dite Madame de St-Bonnet ; Gabrielle Marguerite de Ferrières de Sauveboeuf, religieuse ; Léonarde de Ferrières de Sauveboeuf furent emprisonnées et n’obtinrent leur libération qu’après avoir signé un certificat de bonne conduite, fourni par la commune de Salers. Le 24 juillet 1794, Marguerite de Tournier Aiguillon fut la seule femme du Cantal à monter sur l’échafaud à Aurillac.

6)     Service militaire, réservistes.

7)     L’abbé Léopold Lafarge décrit une hutte sauvage à la Sagne, habitée par l’Hermite Antenou, vivant seul avec ses chèvres, ses brebis, son porc et son chien.

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